Isolde: Sur le
sable en face de la mer dans la nuit sans toi.
Tristan: Tu ne m'écoutas pas.
J'ère l'urle
du vent, seulement, t’appeler.
Et ton regard
direct, incisive il atteignait l’horizon noir,
inhérent
à ce qui conspirait, peut-être à la solitude,
il m’ignorait.
Sans attention tu étais,
et
moi j’etais perdu, dans l’horizont de la mer à tes pied.
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